Comment arrêter de fumer,how to stop smoking
Dimanche 25 Juillet 21;
Je commence ,aujourd'hui, cette nouvelle page . Ma vie à eu un début, un développement et maintenant, j’entame la fin .
J’ai 51 ans et je débute selon moi ,la fin de ma vie . Je n’aurai jamais d’enfants et je ne serai jamais grand-mère. Toujours dans le but d’amener les personnes qui en ont les moyens de me donner de l’argent pour que je puisse avoir une meilleur fin de vie et pour aller jusqu’à me délivrer de cette vie de malade mental de pauvre que je subis depuis trop longtemps . Je ne sais pas quoi dire pour arriver à faire fondre vos cœurs de pierre mais voilà...je suis au Québec....
Alors voici des souvenirs de ma vie . Comme je l’ai dit ,ça tellement fait mal que je n’en suis jamais revenu . Que ça plaise ou non , c’est ma vie . On voit toujours autour d’une folle ,les malades mentales qui en sont la cause . Comme on dit : " Ils et elles m’impliquent ,ça m’affecte ,alors je le dis ."
Je suis venue au monde en 1970 , à Hauterive. Ma mère avait 19 ans et mon père 27 . Mon père était un ingénieur qui travaillait chez hydro-quebec et m'a mère était à la maison. Mes parents étaient deux ivrognes fonctionnels , maintenant leurs apparences devant d’autres ivrognes fonctionnels . Dans les années 80 , ma mère me disait souvent qu’elle aurait dû ce faire avorter , qu’elle ne voulait pas avoir de filles mais juste un garçon et qu’elle n’aurait jamais dû avoir d’enfants. Mon père, lui , après avoir divorcé ma mère , m’appellait pour me dire ,à propos de son mariage, qu’il avait perdu les 20 dernières années de sa vie qu’il ne récupérera jamais .
Deux personnes qui ne connaissaient du respect que le mot . Ma mère, pendant toute mon adolescence, me traitait de grosse conne , à chaque fois qu’elle le pouvait. Mon père, après le divorce d’avec ma mère, a été marié sa secrétaire, une skizophrene , encore plus minable que lui. Ma mère,elle, c’est retrouvé avec un ivrogne, propriétaire d’une vitrerie à Rimouski . On peut dire que les torchons ont trouvé d’autres torchons .
Pendant que cet enfant de chienne qui est mon père ,Berthier Rossignol, vit avec sa pension d’hydro-quebec , dans sa grosse maison à Granby ,moi , Nadine Rossignol ,je n’ai même pas de logement à mon nom et je crève de faim . Pendant que cet enfant de chienne ce fait protéger par d’autres débiles comme lui,je ne trouve même d’aide d’une avocate pour mettre ce trou de cul en prison. Cet enfant de chienne , ne m’a jamais aidé. Je ne sais pas comment vous faire comprendre jusqu'à quel point cet enfant de chienne à détruit ma vie. Il n’a même pas eu l’intelligence de se racheter ou de s’excuser pour avoir détruit ma vie en me donnant de l’argent. Parce qu’il n’y à que l’argent que les malades mentales ont peur de perdre. Ils n’ont pas peur de mourir, ils n’ont pas peur d’aller en prison mais, ils ont peur de perdre leurs argent et cet enfant de chienne de sale tapette n’à même pas eu le courage de m’aider financièrement, sachant la misère que je vivais. Un minable de peureux et de pas de couilles . Tellement pas intelligent, même pas capable d’admettre que ce qu’il m’avait faites était anormal . Mais je sais que ce minable le sait et qu’il s’en câlisse . Comme j’ai dis, il a été pour moi ,la pire des mardes qu’un homme puisse être pour une femme et ce tas de merde là ,était mon père.
Je dis son nom parce que je n’ai pas à protéger un malade mentale qui ne m’à jamais protéger. Je t’haïs ostie de vieux crisse de vieux crisse de tas de merde . Crisse de sale race de malade mentales . Rétribution !!! et dédommagement !! Es-tu trop cave pour comprendre ça ?Ah!oui,c’est vrai ,t’es un malade mental comme ton frère et tu t’en calisse .... Et Noëlla Lefbevre ou Dubé , de Rimouski, qui travaillait elle aussi chez hydro-quebec,m’a insulté et manqué de respect, après le mariage de mon frère . Une femme froide ,laide et insignifiante, qui n’à même pas essayer de me connaître et de me faire partie de leur famille. Une autre qui, comme mon père avait l’intelligence d’une coupable ,d’une conne et d’une malade mentale .T’es mieux de ne pas avoir empêcher mon père de me donner de l’argent . T’as pus rien à me dire , la tapette , alors ferme ta gueule et donne moi de l’argent .
Il ,ne m’est pas venu à l’idée de ne pas être cru, mais des tas de merde comme mon père,hommes et femmes ,de cette merde de là, j’en veux pas dans ma vie. SUICIDEZ-VOUS par pitié !!!Crisses d’inutiles . Tas de merdes, connasses!!! !!! Crisses de minables .Même pas été foutu d’evoluer .Même pas été foutu de vous être délivrer de ce monde des malades mentales .Crisses de chiens d’arriérés et d’handicapés mentales . Tu peux pas détruire la vie de quelqu'un et t’attendre à ce que cette personne ne réagisse pas .Trou de cul .
Gofundme.com/give-it-to-nadine
Merci
La vie que j'ai eu m’a apprise à me tenir loin des personnes qui me haïssent et à les haïr en retour . À haïr les personnes qui sont et qui ont été la cause de mes malheurs , à trouver vengeance et à leurs pardonner seulement après leurs morts ( il faut payer pour se faire pardonner ) .
Nadinnisme
Dans la vie, comme dans nous -mêmes , il faut toujours suivre les plus intelligentes pas les plus débiles . Parce que ce sont les plus intelligentes qui vont vous sauver et vous tenir loin des débiles . ( Je parle d’expérience et je suis tellement contente qu’ils ne soient plus dans ma vie .)
Nadinnisme
1. Je me rappelle que j’avais 3 ou 4 ans ,j’étais dans les bras de mon père et j’ai regardé le ciel . C’était l’après--midi ,il faisait soleil et il faisait chaud. J’ai vu quelque chose de rond et de tout blanc . J’ai levé mon bras et j’ai pointé ce que je voyais . J’ai dits à mon père " c’est quoi ça ?" Mon père à répondu " c’est la lune " . Je lui ai tout de suite demandé " peux-tu me l’acheter ?" et mon père, surpris de ma demande ,m’à regardé et m’à répondu " ben non! " J’ai fermé les yeux et j’ai collé mon visage contre le sien en disant un " ohhhhh! " de déception .On était en visite chez quelqu'un que je ne me rappelle pas qui et un homme,plus petit que mon père, c’est approché et m’à dit " veux-tu rester avec moi ? Mon toit est en chocolat !"Je me suis mise à hurler " non!" en tournant la tête vers le dos de mon père. Mon père a regardé l’homme et a dit " à veux pas " . L’homme qui avait l’air insulté à regardé mon père et lui a dit " aille on aime ça les petites filles ,nous autres ! " et ça c’est terminé comme ça. C’était en 1973-74.
Alors, concernant le tricot, voilà ce qui c’est passé. Dans les années 2003-2004 , mon co-loc . avait commencé à amener de la laine et des aiguilles à tricoter. Je me suis mise à lire les livres sur comment faire qu’il avait aussi apporté. Après avoir lu tout ça, je me suis mise à tricoter ce que j’avais appris. Je savais faire le point de riz et comment terminer un travail. Un après-midi, je me suis assise sur le fauteuil du salon pour tricoter un peu . Je me suis replacer les bras et je me suis planté une des aiguilles dans le coup. Un autre fois , j’étais dans mon lit ,sur le dos ,je tricotais tout en regardant la télé et j’ai voulu me replacer les bras et je me suis planté l’aiguille dans la joue . Quelques minutes plus tard , j’ai encore voulu me replacer les bras et je me suis planté l’aiguille dans le coin de l’œil et je portais des lunettes ! Là, je me suis dit :" okay,c’est assez !" et j’ai mis les aiguilles dans ma sacoche qui était par terre ,à côté de mon lit . J’ai placé les aiguilles ,le pointus vers le haut et je me suis recouché. Soudainement, en oubliant que les aiguilles étaient là, j’ai voulu allé me chercher un verre d’eau , je me suis levé et le pied gauche a atterrit direct sur les deux aiguilles . Elles étaient plantées assez profond que les aiguilles ont sortis du sac quand je me suis levé le pied . J’ai retiré les aiguilles et après avoir éponger les plaies , les plaies qu’elles avaient laissé formaient un point d’exclamation à l’envers . Je n’ai plus jamais tricotée après ça.
Ça c’est passé en 1982 ,j’avais 11 ou 12 ans ,au Cameroon,à Yaoundé, là où mon père avait été envoyé par hydro-quebec pour y travailler pendant 3 ans .Probablement un samedi après-midi parce qu’on était toute la famille ensemble . On était dans la voiture, en route pour l’appartement ,sur une rue très large qui n’était pas pavé. Il y avait des maisons et des commerces des deux côtés et beaucoup de monde aussi . Je ne sais pas pourquoi mais mon père avait arrêté la voiture dans le milieu du chemin . Je pense qu’il cherchait son chemin . On pouvait voir tout autour de nous, le peuple dehors devant leurs cabanes en bois . Des enfants qui couraient un peu partout autour de la voiture en nous regardant et des karts de nourriture de toutes sortes . Ce qui était particulier ,c’est qu’il y avait , ce que leurs femmes appelaient " des fous " qui étaient nus dans la rue et qui semblaient dormir dehors comme des itinérants . Et soudain , un " fou" complètement nu c’est approché de la voiture . Ils nous avaient dit qu’ils étaient laissé à eux-mêmes puisqu’ils n’avaient pas de place où les mettre . Quand il est arrivé près de la voiture,peut-être à 4 pieds de ma portière, il était sale ,recouvert de poussière. J’ai vu son immense penis et je me suis mise la tête entre les deux sièges pour que mes parents m’entendent et j’ai crié " Il l’à en haut du genoux ! " parce que son zouinzouin arrêtait juste en haut de son genoux ! Ma mère a sourit en regardant mon père et mon père a démarré la voiture et on est partis !haaaaaa!haaaaaaa!hahaaaaaaa!Ha!ha!ha!
Les deux premières années qu’on était à Yaoundé, de 1981 à 1983 ,mon père avait eu la brillante idée de nous envoyer dans une école local , " L’école Catholique la retraite " que ça s’appelait ,tenu par une sœur religieuse blanche que je ne me rappelle plus son nom . Elle avait demandé à mon père de venir mettre l’électricité chez elle . C’était une école de pauvres ,majoritairement des enfants du peuple . Je pense que sur une classe de 40 élèves, il devait y avoir 3 ou 4 blancs. De ce qu’on m’avait dit ,le fils du Premier ministre que l’on m’à pointé du doigt était dans la même classe que moi .
La première journée, je suis arrivé après le son de la cloche alors,tout le monde était assis. La professeur m’à amené jusqu’à ma place qui était l’avant dernier banc . Le souvenir que j’en ai est que le "local", à côté de qui j’allais m’assoir ,à dit en me voyant :" mon dieu ! Elle va casser le banc ! " Alors, déjà à cette âge là, j’avais le goût d’être ailleurs.
C’était sale et ça puait . Les toilettes ,qui étaient à l’extérieur,étaient pleine de merde et de flaque de pisse . Je n’ai jamais été au toilette pendant les deux années que j’étais là.
Vers la fin de la journée, la professeur qui s’appelait Marie-Claude , une femme local ,choisissait 3 élèves qui devaient laver le planché avec de vieilles serpillières sales. Le planché était en béton poli .Ça m’est arrivé au moins 3 fois de laver le planché.
J’étais assise sur l’avant-dernier banc . À côté et derrière moi,il y avait deux filles " des rough and tough" . Je pense qu’on était un mercredi et j’avais oublié mes lunettes . C’était la journée où on dessinait et la prof.,avait décidé de ne pas nommer les noms mais de montrer les dessins et on devait ce lever et aller chercher notre dessin quand on le reconnaissait . En plus de rajouter au malheur que c’était déjà d’être là, elle nous ,la crisse de grosse connasse, dit qu’elle donnera 1 coup de bâton ,qui avait l’air d’un 2×4 à la personne qui n’ira pas chercher son dessin. Évidemment, n’ayant pas mes lunettes ,étant derrière, je me suis retrouvé devant ,la main tendu ,humilié devant tout le monde ,à me faire donné un coup de bâton sur l’intérieur de la paume de la main . La crisse de conne, à frappé si fort que j’ai eu des frissons jusque sur les joues . J’ai pris mon dessin ,s’en pleurer et j’ai été m’assoir .
La deuxième fois , la crisse de connasse , n’était pas arrivée à l’heure et elle avait nommé une élève pour qu’elle écrive le nom de ceux et de celles qui parlaient . La crisse de chienne avait averti tout le monde que les élèves qui allait ce retrouver sur le tableau,allait recevoir 3 coups de bâton. Évidemment, j’ai parlé et mon nom ce retrouva sur le criss de tableau ,ainsi que les deux filles à côté de moi . Quand la crisse de bonne à rien a pris son criss de bâton et c’est approché de nous,les deux filles à côté de moi ce sont penchés et on frotté leurs mains sur le planché sale . Ne sachant pas trop pourquoi ,soit pour engourdir le dedans des mains ou soit pour lui montrer des mains sales ,j’ai fais la même chose . Alors ,à mon tour , je me suis levé et avec toute sa force de criss de malade mentale, la crisse de chienne ,me frappa trois fois sur la même main. Je n’ai pas pleuré et je me suis rassis . Ça eu l’air de la déranger de ne pas me voir réagir.
On écrivait avec des stylots Bic et pour corriger les erreurs que je faisait, j’utilisait du liquid paper. Un jour, devant tout le monde, elle me demanda d’arrêter d’en utiliser parce toutes ces petites tâches blanches salissaient sont beau paysage de noirs.
Dans la cour d’école, il arrivait parfois que l’on se fasse traité de porcs grattés. Apparemment que c’était parce que leurs porcs étaient noirs et qu ils devenaient blancs lorsqu’ils les grattaient.(Je ne dirai pas que c’est pas normal de gratter des porcs parce que y’en a qui vont se retrouver dans les porcheries pour en gratter juste pour que ce soit normal...)HAHAAAA!!HAHAAAAA!!!HAHAAAAA!!! Crisse de caves !!!
Le souvenirs que j’en ai d’eux, est d’avoir été des gens violents et des racistes envers les blancs qui etaient là. Mon père se faisait arrêter par les policiers, qui étaient saouls et ils lui demandaient de leurs donner 50 000 fca pour qu’ils le laisse partir.(dans le temps , : 250$ )ILs étaient menaçants,harcelants, . La 3ieme année, quand ça arrivait, mon père sortait de la voiture de la compagnie "la sonel " , leur j'étais les clefs et partait. L es policiers,complètement saouls,allait le rejoindre et lui disait de reprendre sa voiture et de partir .
Quand on arrêtait pour faire des achats sur la rue bastos, des jeunes locales, entouraient la voiture et demandaient 1000cfa pour garder la voiture. Au début, mon père refusait mais un jour revenant de la librairie, les jeunes avaient crevés les 4 pneus de la voiture. Alors après ça,a chaque fois qu’on stationnait à quelque part, fallait que mon père choisisse un jeune et parfois deux qui allaient garder la voiture pour empêcher les autres de crever les pneus.
Je me demandait parfois, en les regardant assis devant des cabanes en bois, ce qu’ils faisaient là parce que ce que je voyais d’eux ne faisait pas de sens. C’était comme s’ils avaient envahie le pays de quelqu’un d’autre. Comme en Amérique où ils se retrouvent à faire fuir les gens en envahissant leurs quartiers et à rester là.
Ils et elles ne sont pas plus intelligentes que des coups de bâtons sur la paume de la main d’enfants de 10 ans . On pouvait parfois entendre les élèves de la classe d’à côté qui hurlait parce que le professeur leur donnait des coups de bâtons sur l’os de la cheville . Et oui,pour vrai . On peut voir l’affiche de l’entrée sur Google earth . " l’école Catholique la retraite " .Mon crisse de trou de cul de père nous avait dit qu’il voulait qu’on aille dans une école locale pour l’expérience mais à bien y penser, je pense qu’il s’en foutait de notre éducation. La dernière année, on s’est retrouvé à l’école internationale de Yaoundé. Une école américaine et c’est là que j’ai appris l’anglais ..... Manipulateurs de merde . Ils ont faits de notre séjour au Cameroun un vrai calvaire.
On devait être en 77-78 , à l’école st-charles de chicoutimi-nord . Une toute petite école primaire de quartier . Ça s’est passé lors de la récréation. Il y avait ,à côté de la cours de l’école , un tas de gros rochers . Pour empêcher les élèves d’y aller et de se faire mals ,ils avaient installé une clôture tout autour . Des plus grands que moi y allaient quand même en passant entre deux poteaux de clôtures. Un jour, je les aies suivis et je marchait sur un des rochers quand mon pied à glissé et le genou m’est tombé sur un gros fond de bouteille cassé. Je me suis mise à crier et à pleurer de douleur. J’avais le genoux fendu d’à peu près 1 pouce de long ,jusqu’à l’os et ça saignait beaucoup. Je me rappelle que je portais des bas blancs jusqu’aux genoux et que le sang était en train de les tâcher . J’ai soudainement eu peur de me faire frapper pour avoir salis mes beaux bas blancs . Je me suis retrouvé dans l’école et une des professeurs m’à assise et je pleurais beaucoup . Elles m’à regarder de haut et m’à dit d’un ton dénigrant, " On n’aime pas les petites filles qui pleurent ,nous--autres ! " Personne ne m’à rassurer ni protégé. Ma mère est arrivé me chercher. Je me rappelle de m’être retrouvé à l’hôpital, couché sur une civière et un homme s’est approché de moi et m’à dit : " prends mon doigt et serre le de toute tes forces !" J’ai pris son doigt dans ma main et j’ai serré de toutes mes forces pendant que l’autre médecin me piquait pour me geler le genoux . Il avait les yeux bleus . Je suis revenu à la maison avec ma mère. J’avais le genoux en feu ,entouré de bandages . Je n’ai pas été à l’école de la semaine . Je me rappelle d’avoir eu mal à la tête et d’avoir été étourdi. Ma mère m’avait dis de ne pas sortir de la maison . Évidemment, je suis sortis quand même et en bouettant ,je me suis rendu jusqu’à l’école où j’allais ,qui était à 2 minutes de marche de la maison . Je voulais leurs montrer mon bandage . Je suis revenu chez moi après ça. Plus tard,mon père m’amena chez le médecin pour qu’il enlève mes points de soutures . Malgré le fait que ça ne faisait pas mal ,je me suis mise à pleurer quand le médecin a commencé à enlever mes points et mon père leva la tête et dit " ooooooh! " .
Encore à chicoutimi-nord, en 77-78, mon père m’amena à l’arena parce qu’il voulait y voir ses amis . Il me laissa seule ,près de la porte de la patinoire qui était ouverte . Un homme est arrivé pour fermer la porte et a crier :" attention à vos doigts !" J’étais sûr d’avoir enlevé ma main . L’homme a fermé la porte de toutes ses forces et ma écrasé le majeur . Je me suis mise à hurler de douleur et il rouvrit la porte . Mon père était ailleurs alors ,l’homme m’amena dans la loge des joueurs et me coucha sur un lit . J’avais le doigt tout en sang . En revenant à la maison,dans voiture , mon père me dit :" j’étais tellement gêner" . Je ne lui ai pas répondu, je tenais ma main et mon doigt en feu . Quelques semaines plus tard , mon ongle est tombé et un autre à poussé.
Alors , ça s’est passé en 76-77 , à sept-iles . On étaient en visite chez la sœur de mon père. Les adultes étaient en haut dans la cuisine et j’étais dans la cave avec mes cousins . Il y avait une bicyclette stationnaire près du mur en bas des escaliers,j’étais assise devant et ma mère me dit :" touche pas à ça, tu vas te faire mal ! " Je me suis mise à faire tourner la roue avec la pédale. Je ne sais pas comment mais, l’auriculaire de la main droite s’est retrouvé entre la chaîne et le cadran en haut de la pédale. Je me suis mise à hurler. J’avais le bout du doigt tout écrasé et tout en sang . Ils m’ont amené à l’hôpital. Ils m’ont mis le doigt dans un protecteur en métal. À cause de ça, depuis ce jour,j’ai l’ongle du doigt fendu sur la longueur.
Autour des années 77-78, j’étais assise sur la banquette arrière de la voiture avec mon frère. On était dans l’entrée de notre maison ,le 107 rue Octave . Mon pere , est entré dans la voiture. On était sur le point de partir quand,je ne me rappelle pas pourquoi mais j’ai dit :" criss " . Il nous était interdit de sacrer alors ,en entendant ça, mon père s’est passé le bras entre les deux sièges et me donna un coup de poing sur la jambe ,en haut du genoux . Le coup de poing était si fort que mes intestins se sont contractés. J’ai senti mes poumons se durcir et je manquais de souffle comme si quelq’un m’étranglais . Les poils de mon visage se sont tous redresser. Je frottais ma cuisse et j’ai dit à mon frère que si ça n’avait pas fait aussi mal que j’aurais continuer de sacrer. Mon frère m'a regardé en souriant et a dit :" ah ! Ouais ! Ha! Ha! "
Mon père avait été hospitalisé à Montréal pour des problèmes de narines ou de sinus . Il était avec sa nouvelle femme quand je suis arrivé. Sa chambre était très sombre . Il avait son gros nez dans un bandage et était couché dans son lit . En le voyant ,les yeux à moitié fermé, je lui ai dis :" je pensais que tu étais sur ton lit de mort :" Il a ouvert les yeux ,déçu de me voir , et à fait un signe de la main de partir et je suis partis . C’était en 93-94 ..je pense .
Voici d’autres souvenirs de la vie de malade mental qu’ils m’ont fait vivre ...et plus tard ,pour eux et pour les autres comme eux que j’ai connus , je me suis rendu compte qu’il n’y a jamais rien d’intelligent dans la tête d’un malade mental et parfois, je me demande ce que je pourrais dire ou faire pour qu’au lieu d’agir des comportements de malades mentales , que le suicide leurs soit leur première action. Évidemment, je veux de l’argent comme rétribution mais y’à jamais rien d’intelligent qui ce passe dans la tête d’un malade mentale...
Je me rappelle, en 78,79 , je devais avoir 8 ou 9 ans et ma mère, avant que je parte le matin pour l’école, m’avait averti de revenir tout de suite à la maison une fois l’école terminée et de ne pas flâner nul part. Il faisait très beau cette journée là. Après l’école, j’ai décidé d’aller voir les ados.qui jouaient au base-ball au lieu de rentrer à la maison . En revenant , sur le chemin qui menait sur ma rue , devant les voisins , ma mère est arrivée à côté de moi ,en voiture ,arrêtant à quelques centimètres de l’endroit où j’étais. La voiture venait devant moi alors ,elle a traversée la rue pour la stationner à côté de moi et ce , à vive allure ,tellement que je me rappelle de la poussière et de la garnotte que la voiture a soulevé lorsque la voiture s’arrêta à côté de moi . Elle est sortie de la voiture et me dit ,tout en me ruant de coups de bâtons sur les jambes ,qu’elle m’avait dit de rentrer tout de suite à la maison après l’école. Tellement forts que le souffle m’à coupé. Une fois terminé, elle reparti en me laissant sur le bord du chemin, devant toutes les maisons des voisins . Humilié ,abattu , traumatiser de douleurs et traumatisé par l’agression que je venais de subir , tenant encore sur mes deux jambes ,je me suis mise à marcher jusqu’à chez moi . Je marchais en me touchant les jambes et en disant "ayoye!ayoye!". Je ne me rappelle pas si je pleurais .Quand je suis rentré à la maison,ma mère était dans la cuisine , à fait comme si de rien n'était ,m’à dit quelque chose et je pense que je me suis assise à la table de la cuisine . C’était une voiture brune et je pense que la voiture de mon père était rouge vin. C'etait la fin de l' après-midi et mon père était à son travail avec la voiture. De ce que je me rappelle aujourd'hui, quand je pense à tout ça,la femme qui est sortit de la voiture était plus grande et plus mince que ma mère .Ma mère m'avait déjà donné des coups de cuilleres de bois mais jamais de 2x4 .Et jamais aussi fort . Des coups de bâtons sur les jambes d’une petite fille de 8 ou 9 ans mais quel malade mental fait ça? Je me rappelle encore aujourd'hui de la douleur que ces coups de bâtons m’avaient causés. C’étaient comme des brûlures. J’en avait eu le souffle coupé. J’ai senti mes intestins ce contracter comme quand j’avais des crampes avant de faire caca . J’ai senti mes poumons se vider d’air et j’ai eu mal au cœur à cause des intestins que je ressentais monter dans mon ventre . J’avais le souffle court et les épaules contractés. Quand la voiture s’est arrêté à côté de moi,me frôlant presque et que ma mère (??) en est sortit avec un 2 par 4 ,tellement rapidement et me frappant tellement fort ,anormalement fort . J’avais la mâchoire bloquée et la tête toute enflée. J’en ai eu mal jusque dans les gencives . J’avais l’impression que mes dents voulaient se sauver et que mes yeux voulaient sortir de leurs orbites . Le mal de tête que j’ai eu après ça et surtout cette douleur que j’ai eu derrière la langue tout au fond de la gorge et cette difficulté que j’avais à respirer, comme si je respirait dans un sac en papier . Après être revenu à la maison ,je n’ai pas de souvenirs de ce qui c’est passé par la suite . J’avais des bleus partout sur les jambes . Et ma mère a fait comme si de rien était...
J’avais peut-être 5 ou 6 ans ,on était dans notre maison au ,107 rue octave à chicoutimi--nord . (Vous pouvez voir la maison sur Google earth) C’était le soir ,ma mère et mon père étaient en train de souper pendant que mon frère et moi étions en train de prendre notre bain en hurlant et en nous chicanant . La porte de la salle de bain était fermée. Soudainement, mon père à ouvert la porte en trombe ,m’ à prit par les cheveux et m’à sortit du bain . Ce gros tas de merde m’à levé de terre par les cheveux et toute nue, toute mouillé, m’à cogné contre la vanité, le mur du passage et me lança sur mon lit tout en me tenant par les cheveux. J’ai senti mon cuir chevelu ce soulever de sur mon crâne. Il me donnait des coups de genoux dans les côtes ,dans le ventre et dans le dos . Il m’à lancé dans mon lit comme un sac de poubelle. J’avais le corps tout mouillé. J’étais sous le choc . Encore une fois où j’ai eu le souffle coupé, où le corps me tremblait de peur et de choc nerveux. Je me rappelle d’avoir atterri sur le côté et qu’en tremblant ,j’avais replié mes mains comme en prière et que je les avaient mises en dessous de mon menton . Je me rappelle que ma mère avait jeté la couette neuve qu’elle venait d’acheter et que je détestait sur mon corps mouillé, qu’elle avait fermé la porte et que tout était devenu sombre. Le corps me brûlait. C’était comme si mes poumons s’étaient vidés d’air ,encore une fois . Tout le corps me faisait mal. Je n’ai pas pleuré. J’ai juste mis mes mains en dessous de mon menton et je me suis évanoui en expirant un dernier souffle. Malheureusement, je me suis réveillé le lendemain et ma vie de malheurs c’est continué. Ma mère est venue me réveiller le lendemain pour aller à l’école. J’avais mal à mon cuir chevellu et à ma nuque . J’avais les épaules et les muscles du dos toutes contractés. J’avais le visage et les yeux enflées. Je me rappelle que j’ai ressenti quelque chose mourir en moi et je n’ai plus jamais été là même après ça. Mon père à tué quelque chose en moi . Je me suis senti mourir . J’ai senti quelque chose en moi mourir. C’était comme si je m’étais faites enlevé une partie de moi et de m’être senti seule et abandonné . Cette nuit là, mon père m’à tué. J’avais 5 ou 6 ans . Comment faire pour que leurs première réaction soit le suicide, comme un automatisme et de mourir tout simplement...
Ça c’est passé à chicoutimi-nord dans les années 76-77 à l’école saint-charles ,la petite école primaire de quartier où j’allais. C’était le matin, en pleine récréation. J’étais près de la porte d’entrée et je regardais les autres enfants qui jouaient un peu plus loin . Je regardais les balançoires pour savoir s’ il y allait en avoir une qui allait se libérer pour aller m’amuser moi aussi. J’étais seule ,je ne souriais pas et j’attendais que ça finisse . De loin,un garçon m’à lancé, sans aucune raison ,une pomme qui m’à frappé en pleine tempe droite . Je me rappelle d’avoir été déstabiliser et d’avoir mis mes mains sur mon visage .Quand j’y repense aujourd'hui, je sais que ça n’avait pas été une erreur et que celui qui avait fait ça, m’avait visé.Ca été lancé comme un lanceur qui lance une balle de base-ball.Une professeur m’à faite entrée dans l’école. Elle me fit m’assoir et regarda à l’endroit où le garçon m’avait frappé. Elle se mit à me jouer dans les cheveux et en riant ,me dit " mon dieu ,t’es pleine de pellicules !" Elle regardait une autre enseignante et riait de tout ça. Je n’ai jamais su qui m ' avait fait ça. Mais elles ,le savent et lui,le petit minable ... Un autre souvenir de la vie de malade mentale de malheurs qu’ils m’ont fait vivre .
En 78-79 , vers 8 ou 9 ans , mon père m’amena chez le dentiste . Ayant eu trop peur de me faire plomber les dents ,je suis sortie du bureau en enlevant les cotons que j’avais dans la bouche . J’ai été rejoindre mon père et je lui ai dit que c’était finis et qu’on pouvait partir . Le dentiste est venue voir mon père et lui a dit que je devais me faire hospitalisé pour me faire plomber les dents . Rendu à l’hôpital, avant de m’amener dans la salle d’opération, une femme mince et grande m’à faite levé de mon lit et m’enleva mes sous-vêtements en me disant que c’était pour ne pas avoir de l’électricité statique . Sur la table d’opération, je me rappelle qu’un homme me mit un masque sur la bouche et me dit de compter à l’envers en commençant par 100,ce que je fis et je me suis endormie. Je me rappelle de m’être réveillé et d’être étourdi. Mes parents ne m’ont pas visité et sont venus me chercher quand il était le temps de partir. Je me rappelle qu’il y avait une fille plus âgée que moi dans le lit d’à côté et que sa mère, tout en la faisant manger à la cuillère, lui disait d’arrêter de jouer avec ses pieds . Et ça s’est terminé comme ça.
Samedi 23 Avril 2022
J’ai une collecte de fonds personnel sur : GOFUNDME.COM/GIVE-IT-TO-NADINE
Gros-Lard Laterreur est mort dans la nuit du 13 septembre 2017 . On l’à retrouvé tout raide et tout aplatit en dessous d’une chaise ,dans la chambre de mon colocataire . Depuis un mois qu’on s’était rendu compte qu’il y avait du sang dans ses selles . Et du jour au lendemain, il est devenu tout maigre et chétif. Je l’ai amené chez le vétérinaire sur la rue delorimier au coin de rosemont . Le vétérinaire l’à ausculté et m’à dit qu’il fallait lui faire une prise de sang . Il me dit combien que ça coûterait et d’aller régler ça avec la secrétaire. Je lui ai dit que je n’avais pas d’argent pour payer sur le moment à cause de l’aide sociale mais que je voulais faire une entente de paiement pour que je puisse payer à tous les mois et ils ont refusé. Alors,traumatisé, humilié,mal à l’aise , j’ai pris mon chat malade et je suis partis. En partant,le vétérinaire me dit d’une façon brusque que c’était pour ça qu’ils acceptaient les cartes de crédit et je suis partis. Pendant les 2 semaines qui ont suivis, Gros-Lard ne bougeait presque plus et ne mangeait presque plus . Dans la journée avant sa mort ,il ne bougeait plus. Il ne buvait que de l’eau et avait de l’incontinence. Je l’ai couché sur des serviettes que je changeait une après l’autre. Je suis resté à ces côtés toute la journée . Quand mon coloc est arrivé de travailler le soir ,il prit la relève pour la nuit et le lendemain on a retrouvé Gros-Lard en dessous de la chaise qui était dans sa chambre . Il était raide comme barre et toute aplatit. Mon coloc a beaucoup pleuré.L’atmosphère était lourd. Il en parle encore aujourd'hui .J’ai pas été capable de pleurer tellement j’étais enragé. Mon chat est mort à cause de ces gens là. Des pauvres qui travaillent par besoin . Des sans cœurs et des égoïstes. Il a tué mon chat . Des bombes qu’ils m’ont lancés. J’avais l’impression que les mots du vétérinaire me disant qu’il ne sauverait pas mon chat étaient comme des grenades que je recevais sur le visage. Je n’ai pas su quoi lui dire tellement soson refus était froid et menaçant. Au lieu d’accepter mon offre de payer à cause de l’aide sociale ,ils ont dit non. Au lieu de m’’aider ,ils m’ont rejeté . Des cervelles de pauvres . De la merde comme monde . Ils ont tués mon chat .Alors maintenant, quoi dire de plus .? Je pense que je leurs doit 60$ encore mais mon chat est mort à cause d’eux . Je voulais aller voir un autre vétérinaire mais je n’avais pas l’argent pour me déplacer. On ne savait pas quoi faire avec notre chat . Alors ,on l’à mit dans une boîte avec ses jouets et des couvertures et on l’à mit avec les vidanges . C’est après qu’on avait penser le mettre dans le congélateur, mais bon . Ils nous ont fait vivre deux semaines d’horreur . Mon coloc qui hurlait que tout était de ma faute au lieu d’aller hurler après le vétérinaire. Sale vie de merde qu’ils m’ont fait vivre . Mon chat est mort parce qu’Ils ont refusé de le soigner . Ils ont refusé que je paie à tous les mois ce que ça aurait coûté parce que je n’avais pas l’argent pour tout payer tout de suite . Sale vie de merde . C’est ça, la pauvreté et c’est le genre de monde qu’il y a . Quel vie de merde .Ils m’impliquent , ça m’affecte , alors j’en parle .
C’était en 1975-76 , j’avais 5 ou 6 ans et j’étais seule dans la toilette et je prenais mon bain . Soudainement, je me suis tourné la tête et j’ai vu une grosse araignée sur mon épaule droite . Je me suis mise à hurler et mon père est entré en trombe .Il a enlevé l’araignée en riant et est sorti. Je n’ai pas pleuré mais je tremblait de peur et c’est là ,pour la première fois , que j’ai entendu voix d’un homme ,dans ma tête, qui dit : " Mais qu’est-ce que je fais là ? " Et le souvenir s’arrête là.
J’était au chalet de ma tante ,à pointe-lebel , le 6 juillet 1990 .Après la cérémonie qui a eu lieu à l’église, on ,s’est retrouvé à son chalet pour souper et faire le party. Mon grand-père était assis sur une chaise de parterre devant la véranda. Il était assis à côté d’une petite table de picnic en plastique qu’il avait installé. Tout le monde étaient sur le party . Mes oncles essayaient de faire rire mon grand-père et l’un d’eux est tombé sur la table qui s’est brisée en deux . Mon grand-père, pas content du tout à crié " Ils ont cassés ma table !" . .... je finirai plus tard ...
Quand on est revenu d'afrique ,en 1983-1984 , on s 'est retrouvé dans notre ancienne maison et ma mère avait eu l' idée de ma envoyer au Lycee du Saguenay,une école privee pour fille . Le matin , il fallait que je prenne l'autobus solaires parce que le lycee était dans une autre partie de la ville,très loin de chez moi . Les premières journées,je prenais l'autobus au coin de ma rue mais j'avais décidé de la prendre à l’arrêt qui était devant la petite école primaire du quartier. Tout simplement parce qu’arrivé au coin de ma rue ,l’autobus était déjà pleine et qu’il fallait que j’aille m’assoir tout au fond et je n’aimais pas ça. Je me sentais étouffer. Alors un matin d’hivers ,vers 7h30 , je suis sortis et je me suis rendu à l’arrêt en question . L’abris-bus avait l’air des anciens abris-bus de Montréal. Plus loin,je vis un homme ,plutôt jeune ,de l’autre bord de la rue qui marchait en direction d’un Triplex et avant d’ entrer dans le portique, il me cria " Si tu viens ici , je te donne 20 piasses ! " . J’ai eu peur et je suis partis à courir vers la maison de mes parents et l’homme à eu comme réaction de me crier un " noooon !!" en levant le bras dans ma direction . Plus tard ,cette semaine là, j’étais assise à la table de la cuisine avec ma mère et une tante qui habitait pas loin de chez nous et je leurs dit ce qui c’était passé. Ma mère et ma tante ce sont exclamé et avaient l’air surprises . Je ne sais pas si c’était parce que je n’y avait pas été...mais bon . L’année d’après, on s’est retrouvé à Rimouski et c’est là que j’y ai vécu mon adolescence....
Bon retour , alors voici d’autres souvenirs de la vie de malade mental que j’ai vécu et que j’ai subis . Svp,aidez-moi pour que je puisse améliorer ma qualité de vie et même me délivrer définitivement de la pauvreté. Ce n’est pas normal d’être pauvre . Aidez-moi pour que je me libére définitivement de la vie de malade mental que je subis à tous les jours à cause de l’aide sociale et de la pauvreté. Merci
C’était en 1990-91 , j’avais 20 ou 21 et j’allais au cegep st-laurent .C’était un matin d’hivers glaciale ,venteux et le sol de l’entré du cegep était recouvert d’un épais tapis de glace . Il y avait d’autres étudiants qui,comme moi , marchaient en direction de l’entré du cegep . Je portais un manteau de laine vert sapin et l’air glaciale passait au travers . J’avais froid ,de la tête au pied . Je me rappelle que le vent ,passant au travers de la laine et du feutre ,ressortait derrière ma nuque et que le mélange de la sueur et de l’air froid (je pesais 300 livres à cette époque) me glaçant la tête que ça me brouillait un peu la vue . Je faisais attention où je marchais . Pensant mes pas un après sur l’asphalte aussi glacé qu’une patinoire et non ,ils n’avaient pas ependus de sel ,que dès que je me suis dit de faire attention pour ne pas tomber, que je me retrouve sur le ventre ,le souffle coupé pour une autre fois . Les deux pieds m’ont soulevé de terre en même temps et je suis tombé, face contre terre, le bras droit ,plié sur mon foi .J’avais le souffle coupé et pendant que j’étais sur le ventre ,figurant une façon de me relever, je voyais les autres étudiants qui passaient à côté de moi en ricanant de me voir ainsi abattu. Aucuns ne s’est arrêté pour m’aider ou juste pour me demander si j’étais correcte . J’ai réussi à m’assoir sur ma cuisse gauche en pliants mes genoux et je me suis mis la main sur le foi . J’avais eu l’impression que mes organes internes avaient changé de place . Pendant que je reprenais mon souffle encore assise sur la glace ,un homme passa à côté de moi ,ria et s’en alla . J’ai finalement été capable de me relever et je suis entré dans ce cegep que je détestait. Le cegep st-laurent était au métro cote-vertu et j’habitais au métro papineau . Ça me prenais presqu’une heure pour y aller et je n’aimais pas ça. Je n’aimais pas prendre l’autobus et le métro. Mon expérience au cegep st-laurent en a été une autre que j’aurais pu me passer de vivre.De l’argent de dépenser pour rien et du temps de dépenser pour rien pour une vie qui n’à mené nul part . Ma première journée, j’étais dans la grande salle me cherchant une place où m’assoir et du monde à qui parler parce que personne ne me parlait et je ne connaissais personne et deux d’africaines m’ont regardé et ce sont dit et assez fort pour que je les entendent : " mon dieu ,elle pourrait faire des efforts pour maigrir " et elles sont partis .
Mon père a payé les études de mon frère et je me suis retrouvé avec un 11000$ de dettes d’études.
C’était vers la fin des années 70 ,alors peut-être en 78-79 . Toujours à chicoutimi-nord , à l’école st-charles .On avait un homme comme professeur et il m’avait demandé de rester dans la classe pendant la récréation avec un autre garçon. Il me dit de m’assoir au banc qui était le premier du rang et le garçon,qui avait les cheveux mi-longs de couleur noisette , était assis sur une chaise qui était collé au bureau du professeur qui lui,était assis à son bureau . Je regardais le professeur qui disait quelque chose au garçon mais je n’entendais pas ce qu’il disait . Et sans avertissement, sans pudeur ,sans honte ,sans culpabilité, il poigna les cheveux du garçon et lui tira violemment la tête vers l’arrière. Je sursautai et des frissons de peurs m’envahir le visage et je me mise à trembler . Le professeur lui lâcha les cheveux et le garçon ce mit la main sur le coup et dit : "ayoye ! Ayoye ! " Le professeur ne m’à pas parlé ni regardé. Le garçon n’à pas pleuré et quelques secondes plus tard ,la récréation terminée, les autres enfants sont rentrés dans la classe et la journée à continué. Je ne me rappelle pas si je l’ai dit et je ne sais pas ce qui c’est passé avec le garçon après ça. Une autre journée ...
On habitait sur la rue st-jean-baptiste à rimouski . En 1985 . C’était l’après-midi, l’été et il faisait soleil . Le ciel était bleu sans aucuns nuages ou peut-être que c’était l’hivers ... De toute façon,c’était l’après-midi et mon père me demanda de lui donné quelque chose qui était à lui et( que je ne me rappelle pas dde ce que c’etait) le malade mental me suivis jusque dans ma chambre. J’ai ouvert la porte du garde-robes et je me suis penché pour essayer de trouver l’objet en question qui était tout au fond en dessous de la pile de vêtements. Il était derrière moi et j’étais frustré de l’avoir prêt de moi et je me suis levé et j’ai dit :"ostie!!".ou " criss !" et je me suis repencher pour trouver ce qu’il voulait . Et là, le malade mental me donna un coup de poing en haut des reins ,sur la colonne vertébrale en disant : " Il ne faut pas sacré !" . Je me suis relevé et en me retournant , les deux poings devant moi et devant lui ,je lui ai dit :" toi ,mon ,criss de malade mentale, tu ne me touchera plus jamais !" Il a eu comme réaction de baisser la tête et de dire "ooooh!" en souriant et il est sortit de ma chambre. J’avais 15 ans .
Un autre souvenir de la vie de malade mental que les malades mentals m’ont fait subir.
Alors, voici un autre souvenir de la vie d’agressions que j’ai subis . Svp donner c’est tout . Ce n’est pas une vie ,ce n’est pas la vie et ce n’est pas normal. Aidez-moi .
J’étais chez ma marraine, dans la cuisine quand ,sans aucune raisons , mon père entra dans la maison et ce dirigea vers moi . Mes cousins et cousine se sont assis autour de la table de la cuisine et on regardé, sans rien dire,ce qui allait ce passer. Alors ,sans aucune raisons,mon père, ce malade mentale ,c’est mit à me frapper le visage et à me tirer les cheveux . Il me donnait des coups de genoux dans le dos pour me faire avancer vers la porte de sortie. Il criait et me donnait des coups de poings et des claques sur le visage. II me levait de terre vers la porte de sortie tout en me tirant les cheveux .Il me pinçait les épaules et me donnait des coups de poings dans le haut du dos. Je me rappelle que mon cousin l’avait regardé en souriant pendant qu’il me frappait , l’enfant de chienne. Non seulement je ne sais pas pourquoi ce criss de malade mental m’avait agressé mais je ne sais pas ce qui c’est passé après . Je me rappelle que ma marraine était debout,devant l’évier et regardait tout ça sans ne rien dire et ne rien faire. Je me rappelle de me mettre les mains sur le visage pour me protéger des coups de poings et des claques et de me mettre les mains sur la tête pour me protéger les cheveux que ce malade mental tirait .Je me rappelle d'avoir vu mes cousins et ma marraine sourire à mon trou de cul de chien sale de père pendant qu’il m’agressait. J’avais 8 ou 9 ans, en 78-79, sur la rue vallieres à chicoutimi-nord .J’ai subis les malades mentales de ma famille .Donnez , c’est tout.
En 22010 -2012 , ( je ne me rappelle plus des dates ) , j’ai été diagnostiqué avec une stéatose hépatique aiguë ou grave . ( le syndrome du foi gras ) . J’avais été chez la dentiste dans la clinique dentaire sur la rue mont-royal , à côté du jean-coutu . La dentiste s’appelait Aline . Elle m’avait plombé plusieurs dents à la fois et m’avait fait quelque chose comme 5 ou 6 injections. Elle m’avait tellement faite mal ,la grosse conne , que je me suis mise à pleurer comme une enfant . Le lendemain, j’ai senti mon foi se figer , j’ai commencé à ressentir une douleur en bas du foi , comme si quelque chose me piquait le foi et j’avais le ventre dure et tout gonflé. Je me suis retrouvé chez mon médecin de famille et après m’avoir fait passé des radiographies , il m’annonça que je faisais une stéatose hépatique. Il me montra les radiographies de mon foi et il y avait comme deux trous noirs dessus . Bref , tout ça pour dire que j’étais extrêmement constipé et qu’il fallait que je fasse quelque chose.Je me rappelle avoir été à l’urgence de l'hôpital Notre-Dame 3 fois .La première fois ,j’avais même amené avec moi , un sac à dos avec mes affaires tellement j’étais sûre qu’elles allaient me garder. j’avais le ventre gonflé comme une balloune .Le chien sale de gardien de sécurité n’avais pas voulu que je me couche sur une civière,alors j’ai passé la nuit,et ce,jusqu’à 8 heures le lendemain matin, couché sur les chaises de l’urgence.Les grosses connasses n’ont même pas voulu me donner un déjeuné. Elles ne m’ont même pas faites voire de médecin ces sales chiennes et j’ai été oblige de retourner chez moi à pieds ,parce que je n’avais pas d’argent pour l’autobus.
La deuxième fois, je finis par voir ,dans la nuit,une asiatique à qui j’expliqué mon problème et la réaction de la grosse chienne d’inutile, à été, de mettre ses deux mains sur mon ventre et de peser dessus de toutes ses forces .Alors, la douleur était tel que je me suis mise à hurler et la chienne d’incompétente a rie et est sortie. Je suis rester dans le bureaux à attendre pendant des heures . Quand je suis finalement sortie , je suis allé voir les deux connasses de la réception pour leurs demander quand j’allais voir un médecin et les deux inutiles m’ont dit qu’il n’y en avait pas.Alors, j’ai repris ma carte et je suis retourné chez-moi ,encore à pieds, parce que je n’avais pas l’argent pour l’autobus donc un 25 mn de marche.
La troisième fois , je suis entré à l’urgence avec les mêmes douleurs et je finis par être vu par une infirmière, une française de France et après lui avoir expliqué mon problème pour la troisième fois, en sortant pour aller m’assoir aux urgences, la grosse connasse me dit : " Madame , ça fait trois fois que vous venez ici , on vous l’à dit ,on ne sait pas quoi faire . " J’ai été m’assoir et j’ai quand même attendu jusqu’à 20 h et elles ne m’ont même pas faites voir de médecin. J’ai même été à l’hôpital maisonneuve-Rosemont et là aussi,ils ne m’ont pas fait voir de médecins.Quelque temps après, j’étais couché sur le dos,sur mon lit et j’ai senti quelque chose autour de mon foi qui explosa comme une balloune et qui coula en moi . Je l’ai dis à mon médecin de famille qui me regarda en riant et qui baissa les yeux sur mon dossier . C’est une autre expérience que c’est sales connes de chiennes et de chiens m’ont faites vivre . Je n’ai même pas du monde à remercier ou de dire :" Elles m’ont sauvé la vie " ou autre chose comme ça. C'est tout le temps des mauvaises nouvelles, de l’incompétences, de la stupidité. La seule préoccupation de ce monde là, c’est comment faire pour se retrouver sur la Solidarité sociale et d’être heureux et heureuse de ne pas être en prison . Sale vie de merde .
Alors ,qu’est-ce que j’ai fais ? J’allais chez mon médecin de famille a tous les 3 mois pour me plaindre de cette aiguille qui me piquait le foi et il me disait la même chose a chaque fois ,que c’était parce que j’étais très constipé . Bien évidemment, je n’étais plus capable de manger du gras et là, vraiment aucun gras et ce , pendant les 3 années qui suivirent . Pas de gras, pas de sucre, pas de sel ni poivre, pas de produits chimiques tel que le glutamate, pas de piment fort, pas de produits laitiers. Je me suis mise à manger des fruits ,des pamplemousses et de l’ananas pour me deconstiper . Mon médecin, m’avait prescrit du pantoprazole que je prends à tous les jours depuis ce temps là. Alors ,pour m’aider à me deconstiper , je me suis mises à marcher comme une folle . Parce que là, je pouvais marcher pendant 2 , 3 heures à la fois et je revenais chez-moi seulement quand je ressentais que ça voulait sortir. J’ai même marché pendant 6 heures de temps , sans m’arrêter, avant que je sente que ça veuille sortir tellement que j’étais bloqué. Alors , une après-midi, comme à l’habitude ,je suis sortis pour prendre une marche . Je me suis mise à marcher sur la rue st-joseph ,jusqu’à Piex-IX et de Pie-IX jusqu’à Rosemont . Rendu sur Rosemont , je tournai à gauche ,pour continuer ma marche et je senti quelque chose me frôler le visage à toute allure . Je regarder par terre et je vis une petite roche rebondir à quelques pas de moi . Je regardé de l’autre côté de la rue et je vis une petite connasse blanche qui me regardait à son tour et je réalisé que la grosse charogne venait de me lancer une roche . Juste quand je décide de traverser la rue pour lui saute dessus avec les genoux dans le dos et de lui râper la face sur l’asphalte , la grosse conne partie à courir tellement vite que je n’ai pas pu l’attraper. Elles agissent des comportements de malades mentals parce qu’elles sont débiles et fourrées dans leurs têtes. Elles et ils disparaiteraient de la surface de la terre qu’on s’en porterait mieux . Alors , l’enfant de salope de chienne m’à faite peur et m’à insécurisé .Surtout de ne pas avoir pu me défendre en lui sautant dessus ,les genoux dans le dos et de lui cogner et de lui râpé sa sale face de retardé mentale sur le trottoir. Ces sales chiennes et chiens là, ne connaissent du respect que le mot . Alors ,toute stressée et apeuré , à cause d’une enfant de salope de connasse de chienne , j’ai continué mon chemin ,jusqu'à st-michel et de st-michel jusqu'à st-joseph et de st-joseph ,jusqu’à chez-moi.
Ces marches et le régime alimentaire stricte que je suivais m’ont aidé à me deconstiper comme jamais . Ça sortait tellement qu’après, il fallait que je boive un verre d’eau pour me réhydrater. J’ai arrêté de manger du fromage et tous les gras de produits laitiers et comme par magie , toutes les crampes que j’avais ,depuis l’âge de 3 ans ont disparu. Parce que oui ,j’avais des crampes au ventre comme on a des crampes aux mollets depuis l’âge de 3 ans et ce, jusqu’à l’âge de 42 , que je ne savais pas pourquoi, jusqu’à ce que j’arrête de manger des produits laitiers contenant du gras dedans . Je me rappelle que j’avais 7 ou 8 et j’étais assise à la table de la cuisine ,à chicoutimi nord . Ma mère avait reçu Gilberte ,qui était une de ces amies en visite . Et je dis : " Moi,quand je vais aux toilettes, j’ai des grosses crampes aux ventre ". Ma mère m’à regardé et m’à dit : " ben ,dit -toi que ça fait pas mal et ça va arrêter de faire mal ." Gilberte m’à regarder et à faite un " Oh ! " Et c’est ce que je fis . Alors , je me revois aujourd'hui, à l’âge de 8,9 ans ,plié en deux ,assise sur la toilette , sentant les crampes en haut de l’utérus et à chaque côté du ventre ,jusque sur ma nuque qui se contractaient et se décontractaient et moi qui disais , " ça fait pas mal ,ça fait pas mal ." Et ,pour le peux qui sortait, ça finissait par arrêter de faire mal . Quand je pense à tout ça, que si ma mère m’avait amené voir un médecin , je ne veux même pas imaginer les tests qu’ils m’auraient faites passer à cette âge là, pour savoir ce que c’était. Je pense que l’expérience n’aurait que rajouté au traumatisme de la vie de violence que je subissais à cet âge là. Aujourd'hui, en 2022 , après toutes ces années d’efforts ,la douleur qui me piquait le fois n’est pas disparut mais comme en attente de revenir si je mange trop gras. Ça m’arrive de manger de la crème glacé Oreo peut-être une fois par moi mai j’ en ai pour une semaine à être constipé et à avoir mal. Je peux manger des yogourts de lait écrémé ou des fromages de lait écrémé. Pas de beurre sinon les crampes reviennent . J’ai encore la stéatose alors ,je fais attention. J’ai arrêté de manger de la viande il y a 1 ans et 1 mois . À tous les soirs, avant d’arrêter d’en manger ,il fallait que je prenne une antihistaminique pour ne pas atchoumer pendant toute la journée du lendemain. Une semaine après avoir arrêté de manger de la viande ,les allergies ont complètement arrêté et je n’étais plus obligé de prendre de pilules d’allergies. Je pensais que j’étais allergiques à mes chats ,mais non . Ça m’à aider pour mon foi aussi . J’étais devenu une experte dans le dégraissage de la viande avant de la manger . Je faisais tout bouillir. Je pesais les portions de viandes que je mangeais . La douleur que je ressentais comme quelque chose qui me piquait le foi arrêta complètement . Et me voici , rendu aujourd'hui, pseudo véganétarienne parce que je mange des blancs d’œufs, du fromage et du yogourt de lait écrémé. Pas de jaunes parce que trop gras et les douleurs reviennent. Pas de gras de noix de coco parce que même problème , ainsi que l’huile d’avocat . Je peux manger de petites quantités d’huile d’olive , peut-être 1 fois par semaine ou même moins . À suivre ...
J’ai toujours ma collecte de fonds personnel sur GOFUNDME.COM/GIVE-IT-TO-NADINE
Ou bien sur la page home de mon site . J’ai un compte Instagram : nadinerossignol1970
Sur la page :" À vendre " de mon site ,vous pouvez m’acheter de l’art Africain, si ça vous intéresse.